L'agent immobilier

Le rendez-vous est à 16h30. Je suis déjà raide rien que d'y penser. Et pourtant, je ne peux m'empêcher de me dire que je suis un salaud en regardant ma femme chérie s'habiller. Par dessus son string rouge, Anne-Cécile enfile un pantalon noir fait de ce tissu élastique dont je ne me souviens jamais du nom mais qui enveloppe son cul à ravir. À 32 ans, elle l'a toujours aussi ferme! Pour le haut, elle met un petit débardeur très échancré qui me laisse largement profiter de la vue de ses beaux seins comprimés dans un soutien-gorge assorti au string. Le sillon est profond et les mamelles bien pleines! Des escarpins jaunes à talons assez hauts, une petite veste en velours bleu nuit par dessus et voilà le travail. Du haut de ses 1mètre 70, ma femme en jette! 9a y est, là voilà prête pour notre rendez-vous à l'agence immobilière. Je lui ai dit que nous avons vraiment besoin d'investir un peu d'argent dans la pierre. C'est le moment d'emprunter, les taux sont encore bas et cela ne va pas durer. Donc nous allons visiter un joli deux pièces dans le seizième. Cela va nous changer de la rive gauche. Jusque là rien de spécial. Sauf que nous venons de célébrer une promotion bien méritée et que j'ai servi à Anne-Cécile trois coupes de champagne, excellent désinhibiteur en ce qui la concerne.
Le hasard, enfin bon, pas totalement le hasard, a fait que j'ai croisé un type sur le net avec qui je chatte depuis trois mois. Bref, de fil en aiguille et vu la communauté de nos fantasmes, je lui ai montré des photos et même des vidéos de Anne-Cécile dans des situations hot, hot, hot avec moi! Dès qu'elle a un coup dans le nez, elle devient exhib! Sinon, elle est plutôt du genre bcbg, réservée et un poil hautaine, avec pourtant un corps
Sébastien, lui est plutôt sympa, en couple donc assez discret, et très, très vicieux. Qui plus est, il est monté comme un âne. Cela faisait des semaines qu'il me tannait pour que je lui montre Anne-Cécile en réel, par « hasard » bien sûr. Et j'ai fini par accepter, à la fois hyper excité et inquiet.
L'alcool aidant, Anne-Cécile est de fort bonne humeur et n'est visiblement pas en « mode pimbêche » comme ça peut lui arriver avec les gens qu'elle considère comme n'étant pas tout à fait de son monde.
Voilà, nous sortons du taxi -- j'ai cru que le chauffeur allait stopper sa bagnole dans un parking pour la violer tant il la matait dans le rétro - . J'ai peut-être forcé sur le champ, mais Anne-Cécile n'a pas l'air de se rendre compte que sa veste est largement ouverte et que son débardeur ne cache pas vraiment ses gros nibards à peine enveloppés dans un soutien gorge transparent. Nous voilà devant l'immeuble, années trente, et plutôt pimpant.
La rue est petite et tranquille, mais pas loin des commerces de la Muette. Tiens, personne. Le type nous aurait posé un lapin? J'ai le c?ur un peu battant et me sens soulagé. Mais non, le voilà qui sort de l'immeuble, grand gaillard, un peu vulgos, mais avenant, qui s'avance vers ma femme pour la saluer cérémonieusement
- Très heureux, madame, dit Sébastien
Puis il se tourne vers moi et me salue à mon tour, impassible.
- Vous allez voir, c'est au fond de la cour, quatrième étage, très calme, très lumineux nous dit Sébastien.
Nous passons le porche de l'immeuble puis traversons une cour dallée très propre et ornée de quelques aucubas. La porte du bâtiment du fond est masquée en partie par un échafaudage sur le cinquième étage duquel travaillent encore deux ouvriers.
- Il y a un ravalement bientôt terminé, nous rassure Sébastien. Nous allons prendre l'ascenseur si vous le voulez bien, comme il n'est pas très grand, je vais monter à pied
- Mais non, se récrie Anne-Cécile aimablement, nous allons nous serrer. Tandis qu'elle entre dans l'ascenseur, je regarde Sébastien qui a les yeux exorbités en regardant sa croupe. Je rentre à sa suite et la serre contre moi pour faire de la place. Ce faisant, je la tourne de telle sorte qu'elle me fasse face. Sébastien entre enfin et il me semble qu'il est obligé de se coller à ses fesses. Merde, le salopard se frotte peut-être, j'espère tout de même qu'il va savoir se tenir. Lorsque nous sortons de l'ascenseur, je ne peux m'empêcher de regarder l'entrejambes de Sébastien, c'est bien ce qu'il me semblait, il y a une grosse bosse. Il va pour ouvrir la porte qui nous fait face et s'efface pour nous laisser entrer.
- Je vous en prie, dit-il à ma femme, faites le tour tranquillement, à votre rythme. Tandis que Anne-Cécile s'avance dans le couloir, ses fesses chaloupant sous le pantalon, Sébastien lève le pouce pour indiquer qu'il apprécie le spectacle et je fronce les sourcils : qu'il mate, soit, mais discrètement!
Il a un petit sourire et passe sa main d'une manière totalement obscène sur sa braguette. Puis comme si de rien n'était, il nous fait faire le tour de l'appartement. Pas mal, 60 m2, moquette épaisse dans un grand séjour et à part la salle de bain que ma femme juge un peu petite, il est top et effectivement très lumineux, même si l'échafaudage masque un peu la lumière.
Le gaziantep escort portable de Sébastien s'étant mis à sonner, il s'éloigne un instant et revient l'air ennuyé.
Sébastien rend son portable à la main et semble répondre au téléphone :
- Oui, tout de suite? Ah bien sur, je me dépêche.
Anne-Cécile est revenue vers nous, le regard interrogateur. Sébastien referme son portable et s'excuse.
- Je suis contraint de vous laisser et j'en suis absolument navré. Une urgence à l'agence. J'en ai pour une demi heure au moins, donc prenez votre temps pour imaginer comment vous pourriez l'aménager. Puis-je compter sur vous pour visiter à votre convenance et je reviens dans 45 minutes. Bien sûr si cela ne vous plaît pas, ne m'attendez pas et je compte sur vous pour claquer la porte en partant!
- faites, je vous en prie lui dis-je.
Tandis que ma femme regarde les placards, il s'approche de moi et me chuchote
- c'est une bombe ta salope, débrouille-toi pour que je la voie à poil en revenant...
- tu es fou lui dis-je à voix basse
- démerde toi, où je lui dis que j'aime beaucoup son cul en vidéos...
Je blêmis et reste coi pendant que Sébastien me regarde en souriant avant de fermer la porte. Merde, que puis je faire? Je n'ai pas le choix et ça m'excite un peu tout de même... Je rejoins Anne-Cécile et passant derrière elle, colle mon bas ventre contre son cul.
- Tu sais que ce pantalon moulant m'excite affreusement
Je passe mes mains sous le débardeur et entreprend de dégrafer son soutif.
- Tu es fou, dit Anne-Cécile, il va revenir?
- Dans ¾ d'heures minimum, lui dis-je, je connais ce genre de type il sera en retard. Et puis, il m'a semblé qu'il te matait pas mal, non? Faut dire qu'avec ta tenue...
- Je n'ai pas fait attention, répond Anne-Cécile faussement ingénue, en haussant les épaules.
- Enfin, c'est pas ce qui me préoccupe lui dis-je en titillant ses tétons avec mes mains.
Anne-Cécile adore que je lui tire sur les pointes et généralement, elle s'excite en moins de deux. Encore plus vite si possible avec l'alcool. Elle ondule déjà du cul comme une chatte en chaleur.
- Humm, j'enlève ma ceinture et la montre à ma femme...
- Oh, non, fait mollement Anne-Cécile, tu ne vas quand même pas...
- Mais si ma petite pute lui dis-je, mais si... Allez, viens par ici
Et je l'entraine dans la salle de séjour. Il y a là un fauteuil qui me paraît suffisamment large pour ce que je veux faire. Je le pousse au milieu de la pièce.
- Enlève ton pantalon et ton soutif, mais garde ton débardeur, j'adore voir tes grosses loches qui bougent sous le tissu.
- Mais non, pas ici répète Anne-Cécile.
Je lui flanque une petite claque sur le visage, comme elle aime
- Obéis vicieuse
- Humm, ronronne-t-elle, j'obéis.
Anne-Cécile retire lentement son pantalon en exagérant ses mouvements de hanche et en me regardant comme si elle était une pute de cinéma ; Ce petit jeu nous plait à tous les deux et je dois dire qu'en voyant apparaître son joli cul à peine masqué par un string noir et un porte jarretelle assorti, j'ai une érection immédiate.
- Ok, lui dis-je, enlève ton string de putain et garde tes jarretelles. Maintenant assieds toi dans le fauteuil, cuisses bien écartées que je vois ta chatte béante, et mets tes mains au dessus de ta tête.
Elle lève ses bras et prestement je lui attache les poignets avec ma ceinture. Ce n'est pas hyper serré mais tout de même, j'adore ce spectacle. Puis, je baisse les bretelles de son débardeur pour mettre ses mamelles à l'air
- Te voilà à moi, petite catin, remonte encore plus tes cuisses que je puisse te claquer la chatte et le cul à volonté.
Je me recule et profite du spectacle que m'offre ma femme. Elle est magnifique avec ses longs cheveux bruns qui se répandent sur son dos, son minou grand ouvert dans son écrin et ses gros seins tendus comme des obus en raison de la traction exercée sur ses mains liées.
J'en profite pour enlever mon futal et baissant vivement mon slip, je m'approche pour engouffrer ma queue dans sa bouche entrouverte.
- Mmm, fait-elle en me pompant bien à fond.
- Suce salope, suce!
Je lui répète comme un mantra sachant qu'elle adore la grossièreté dans ce genre de situation. Puis je retire ma queue de sa bouche et voyant son regard déjà bien embrumé, je me baisse et part laper sa chatte tout en introduisant doucement mon index dans son trou du cul. Elle halète de plaisir et je sens bien que son con clapote de plus en plus. Je me relève un instant.
- Manque plus que le bandeau sur les yeux lui dis-je et je prends un joli foulard de soie verte dans son sac que je noue derrière sa tête.
- Là t'es complétement à moi, lui dis-je de plus en plus excité.
Et je me mets à côté d'elle et passe ma pine lentement sur son visage.
C'est à ce moment là que j'entends le bruit de la clef dans la serrure. Anne-Cécile est gaziantep escort bayan trop occupée à se tordre de plaisir pour entendre, mais je vois Sébastien entrer : il a les yeux exorbités en voyant le spectacle. Je crois qu'il ne s'attendait pas à ce qu'elle soit aussi bandante. Après une minute à contempler la bouche ouverte en se tripotant l'entre-jambes, il me fait un clin d'?il.
- Mais qu'est-ce que vous faites, demande-t-il d'une voix tonitruante,
Anne-Cécile pousse un cri.
- Oh, détache moi vite Serge! me dit-elle
- Tout de suite chérie, lui dis-je
- Ah, non, je vous l'interdis dit sèchement Sébastien qui a sorti son appareil photo et mitraille la scène.
- Arrêtez, lui dis-je
- Que se passe-t-il, que fait cet homme? demande Anne-Cécile terrorisée
- Il prend des photos, ce cochon, dis-je sur un ton emmerdé.
- Oh, non, fait Anne-Cécile angoissée, détache moi, détache moi et empêche le!
J'ai juste le temps le faire glisser le bandeau des yeux de Anne-Cécile que Sébastien est près de moi, le regard torve.
- Tu bouges plus, me dit-il où je t'en colle une
- Du calme, du calme dis-je à Sébastien, on peut certainement s'arranger. Après tout on n'a rien fait de grave
- Quoi m'interrompt Sébastien, mais vous prenez cet appartement pour un bordel! Cela ne se fait pas, vous avez abusé de ma confiance et je peux vous dire qu'avec les preuves photos de vos ébats, le propriétaire va porter plainte.
- Oh, non monsieur, s'il vous plait, fait Anne-Cécile angoissée, ca pourrait me faire un tort considérable dans mon job, Serge, fait quelque chose et ôte moi ces liens, c'est très gênant
- Elle reste comme ça tant qu'on n'a pas trouvé un terrain d'entente, fait Sébastien durement
- Vous voulez quoi, de l'argent? Je demande
- De l'argent et puis quoi encore, répond-il, bon allez je suis bon prince, disons que vous m'offrez un petit spectacle
- Un spectacle? Je répète avec un étonnement à peine feint.
- Quel spectacle, balbutie Anne-Cécile
- Toi, me dit Sébastien, tu baises ta femme comme si j'étais pas là, c'est tout, et après on oublie, on se connaît plus, facile, non?
- Certainement pas, il est fou, dit Anne-Cécile effarée
- Comme vous voulez, dit Sébastien en haussant les épaules, j'appelle le proprio. Mais, ajoute-t-il en brandissant son portable, vu ce que j'ai déjà vu, on peut dire que la moitié du chemin est fait. Dans votre tenue, je ne risque pas de rater quelque chose.
Son regard vicieux s'est posé sur les formes voluptueuses de ma femme et je sens que je suis en train de bander à nouveau. Je me tourne vers Anne-Cécile qui est toute rouge de confusion.
- Ma chérie, c'est vrai qu'il a déjà tout vu, alors un peu plus un peu moins...
- Quoi, tu trouves ca normal?
- J'n'ai pas dit ça, mais je suis pragmatique, faut aussi penser à ta réputation...
Anne-Cécile me regarde comme si elle me découvrait puis pousse un soupir
- Bon, d'accord, qu'il regarde ce maitre chanteur.
Sébastien a un sourire et s'installe posément sur une chaise à l'entrée de la salle de séjour. Je m'approche de Anne-Cécile et commence à lui tripoter les nichons. Je n'ai pas de mal à m'exciter tant j'adore les soupeser et les palper. D'ailleurs je m'excite de plus en plus, d'autant que sens bien que ce porc de Sébastien bande dans son coin. Je n'en peux plus et j'introduis ma queue dans le con de Anne-Cécile qui pousse un petit gémissement d'aise tout en prenant soin de ne pas regarder du côté de Sébastien. J'accélère le mouvement. Du coin de l'?il je vois Sébastien qui se touche le paquet. C'est vraiment un vicieux.
Tout à coup il se lève, enlève son pantalon et son slip et vient brutalement me repousser.
- Bon sang, c'est pas avec une bite comme ça que tu vas faire des étincelles, pousse toi petite fiotte. Et d'une bourrade, il me renvoie sur le côté
Regarde dit-il à Anne-Cécile qui a les yeux écarquillés, ça c'est de la bite, et je crois que t'as bien besoin d'être démontée par un engin de gros calibre.
Il lui soupèse un nichon et commente admiratif.
- Putain, belle bête, t'as des lolos d'enfer ma jolie, je te le dis.
- Arrêtez, Serge, détache moi, crie Anne-Cécile effarée
Je m'avance, mais il me repousse sans peine et la gifle avec sa queue
Ma femme reste bouche bée et il en profite le salaud pour la lui mettre bien au fond de la bouche, il essaie même de faire rentrer ses couilles tellement il est excité.
Anne-Cécile a les yeux écarquillés et émet des grognements terrifiés
Le salaud l'étouffe avec son vit et l'a prise violemment par la nuque pour l'inciter à téter plus fort.
C'en est trop. Je ne peux pas le laisser faire. Je m'approche en prenant un air que j'espère menaçant. Sébastien s'interrompt un instant et sort sa bite de la bouche de ma femme. Laquelle peut enfin respirer à grand bruit. Sébastien me regarde goguenard,
- Qu'est-ce qu'elle escort gaziantep veut la tafiolle?
Je recule un peu et croise les yeux de Anne-Cécile qui semblent maintenant plus fascinés par la grosseur de l'outil du monsieur que par mon courage.
- Branle-toi, m'ordonne Sébastien, branle toi et regarde.
Il se retourne vers Anne-Cécile .
- Je vais te démonter la chatte et le cul ma belle, j'adore les bourgeoises prétentieuses avec un corps de pute. Et t'en a un sacrément beau, ajoute-t-il en se remettant à tâter ses nichons.
Je dois dire que voir Anne-Cécile attachée, cuisses bien écartées, lolos à l'air et pour ainsi dire totalement offerte à ce vicieux me plonge dans un état d'excitation que je n'ai jamais connu. Je vois Sébastien qui la palpe comme un paysan une belle vache dans une foire aux bestiaux. Le regard de ma femme a changé, elle a le souffle un peu court et les yeux brillants. On dirait, oui, on dirait que la situation l'excite! Quelle salope!!
Sébastien passe les mains sous ses fesses et les palpe en poussant de petits grognements tout en frottant sa queue contre un sein. Tandis que je m'astique maintenant furieusement et sans me cacher, je le vois qui se lève et détache Anne-Cécile .
- Repose toi les bras ma belle, lui dit-il et branle moi un peu.
Ma femme décalotte doucement le sexe qui est devant elle et approche son visage comme pour mieux voir l'énormité de la chose. Sébastien, de plus en plus en rut, jette sa chemise et complétement à poil, entreprend de relever Anne-Cécile qu'il fait tourner devant lui
- T'as un corps de cochonne, bon sang, tu me plais vraiment et je vais tellement te défoncer que tu pourras plus m'oublier
Sébastien a pris la place de Anne-Cécile dans le fauteuil et la tire doucement par les cheveux pour qu'elle se penche et se mette à genoux. Ma femme obéit docilement et bientôt je vois ses belles lèvres qui entourent la hampe dressée de Sébastien. Lequel a mis ses deux mains sur sa tête et la force à pomper plus vite.
- Humm, t'es vraiment une suceuse de première classe, peut-être que je t'offrirais aux gars de mon équipe comme cadeau de fin d'année!
En entendant cela, Anne-Cécile a comme un frisson de plaisir et caresse ses grosses couilles à pleine main tout en le pompant encore plus ardemment.
Ah, elle y met du sien ma femme, je l'aurai jamais cru me dis-je tout en sentant que si je ne veux pas tout lâcher, faut vraiment que j'arrête de me branler...
- Mmmm, fait Sébastien, c'est qu'elle est chaude la bonne bourge, fallait juste lui donner un tour de manivelle, mais maintenant, elle tourne comme une horloge!
Il se penche et lui claque un peu les fesses, puis se tourne vers moi
- Tu vois, elle est bien excitée ta petite femme
Laquelle, je le constate avec consternation, est assise, cuisses écartées, une main tournant furieusement autour de son clitoris, l'autre caressant le téton érigé de son sein droit. Son regard est fixé sur la bite de Sébastien et le spectacle a l'air de la mettre encore plus en chaleur.
Sébastien ordonne à Anne-Cécile :
- Allez, à quatre pattes, pétasse. Et tends bien ton cul, la tête vers le bas!
Elle se met immédiatement en position, appuyée sur les avant-bras. Sa belle croupe est tendue et les cuisses légèrement écartées laissent entrevoir son abricot humide et son petit anus rose. Elle se passe lentement la langue sur ses lèvres avec un regard de chienne et, tout en faisant lentement osciller sa lourde poitrine, regarde du coin de l'?il la verge de Sébastien. C'est vraiment une catin, me dis-je avec le sentiment que je découvre ma femme autant que je me découvre. Sébastien s'approche lentement et se penche pour la saisir par les hanches. Il s'introduit brutalement dans son vagin. Anne-Cécile pousse un long soupir et tandis que Sébastien entreprend de la bourrer tout en lui claquant le cul, je vois sa main à elle venir titiller son clitoris frénétiquement.
- Prend ça cochonne, lui dit Sébastien à chaque impulsion du bassin, prend ça.
A ma grande surprise Anne-Cécile dont la longue chevelure brune balaie le parquet, ahane des grossièretés qui me feraient rougir si je n'étais pas aussi excité et je l'entends qui dit d'une voix un peu rauque
- Oh quel porc, il me bourre comme une pute, il me claque le cul, il claque fort, ooooh, chéri, il me pète le minou avec sa grosse bite!!!
Elle est visiblement partie dans un délire de jouissance totalement inconnu et je vois que Sébastien s'excite encore plus et devient franchement bestial. Il sort maintenant sa queue du vagin de Anne-Cécile dans un bruit de succion et la retourne brutalement. Elle est hagarde, complétement échevelée, ses yeux de biche lubrique sont fixés sur Sébastien qui la regarde comme un babouin sa guenon. Elle se tire sur les tétons en se passant la langue sur les lèvres. Sébastien n'en peut plus. Il la bouscule et la force à s'étendre sur le sol. Il s'assied sur son visage, la raie du cul enfoncé sur son nez et lui tire sur les mamelles comme s'il voulait la traire. Une vraie bête qui maintenant se met sur le côté et lui empoignant la nuque lui enfonce son dard au fond de la gorge. A moitié étouffée, Anne-Cécile a des convulsions de jouissance tandis que Sébastien, dans un grand râle, lâche le foutre par grosses giclées qui viennent dégouliner entre les lèvres de ma femme vers son menton et jusque sur sa belle poitrine.